Une campagne présidentielle, ça se prépare.Le Patron était prêt. Moi aussi. J'allais le faire gagner. Après la victoire de son «Patron» à la primaire, le premier conseiller d'un homme politique s'engage avec ferveur dans la campagne présidentielle. Ayant sacrifié sa vie pour ce moment et ce combat, il croyait tout connaître de son rôle, jusqu'aux compromis et aux renoncements.Mais rien ne pouvait le préparer à ces mois de campagne, aux trahisons dont seuls sont capables ceux qui convoitent à tout prix le pouvoir. Lorsqu'il doit faire face aux soupçons de fraude qui entachent la victoire aux primaires, il en vient à questionner pour la première fois l'honnêteté de son candidat et par là même le sens de cette vie militante.
Adaptation du best-seller de Julien Sandrel, Edition Calmann-Lévy Le pari fou d'une mère qui veut sortir son fils du coma en réalisant ses rêves... Louis a 12 ans quand un camion le percute et le plonge dans le coma. Le pronostic est sombre. Si son état n'évolue pas, il faudra débrancher le respirateur. Plutôt que de baisser les bras, sa mère Thelma décide de se battre à sa façon : la seule qui lui paraît envisageable.
Durant ce temps suspendu à cette décision médicale dramatique, à la place de son fils, elle va réaliser ses « merveilles », toutes les expériences qu'il aurait aimé vivre et qu'il a consignées dans un carnet. À travers elle, il verra combien la vie est belle. Peut-être même que ça l'aidera à revenir. Et si Louis doit mourir, il aura vécu par procuration la vie dont il rêvait.
Marqués par leurs propres traumatismes, ils sont le fruit d'une expérience révolutionnaire Hantée par le souvenir de ses enfants assassinés, Natacha accepte d'être le cobaye d'une expérience neurobiologique menée par le gouvernement russe, le projet Anastasis.Elle devient vite le centre d'intérêt des scientifiques qui s'étonnent des réactions de la jeune femme et doutent de l'efficacité dut raitement qu'ils lui infligent. Ils redoutent le choc mortel que pourrait subir la jeune femme si elle apprenait, à l'instar des autres participants... qu'elle n'existe pas.
À la Belle Époque, elles détiennent deux armes d'exception : la beauté et l'argent.. 1896. Le corps d'un riche industriel est découvert à bord d'une goélette échouée dans la baie de Somme. Pour une affaire de cette importance, on envoie le meilleur policier de Paris, Amaury Broyan. Très vite, l'inspecteur soupçonne la veuve, héritière de l'immense empire. L'enquête révèle alors que l'industriel avait également une maîtresse, Axelle Valencourt, un modèle ayant posé pour de nombreux artistes et notamment Alfons Mucha.
Des quartiers cossus de Paris aux cabarets de la Butte Montmartre, l'inspecteur se retrouve plongé dans une affaire complexe et périlleuse, dans laquelle chaque personnage, y compris l'inspecteur, va révéler sa part d'ombre.
Rien ne grise comme le vin du malheur. Ferdinand est un tire-au-flanc, un planqué qui simule une infirmité pour échapper à la guerre et éviter de se retrouver en première ligne, dans les tranchées face aux Allemands. Profiteur sans scrupules, il a fait fortune dans le commerce d'un pinard douteux et frelaté qu'il vend à l'armée, allant même jusqu'à nuire à la concurrence pour être le seul fournisseur des poilus.
Alors qu'il écoule son vin près de la ligne de front, Ferdinand se retrouve malgré lui engagé dans le conflit et devient, avec ses compagnons d'infortune, prisonnier d'une tranchée prise entre deux feux. Inclus : les recherches des auteurs sur le commerce de vin frelaté pendant la 1ère Guerre Mondiale.
Il est des eaux moins paisibles qu'elles en ont l'air. Trois noyées en moins d'un an...
C'est beaucoup pour la petite écluse dont s'occupe Octave.
Dans le village, les rumeurs vont bon train et le jeune éclusier un peu attardé au visage déformé a tout du suspect idéal. L'émoi est tel que deux policiers de la ville viennent enquêter pour tirer cette affaire au clair, mais aussi pour faire face à la fureur des habitants bien décidés à rendre la justice eux-mêmes.
Les eaux de la rivière sont paresseuses, mais dans ses méandres, la cruauté et la méchanceté ne sont jamais très loin
On ne mourait pas au bagne, on y agonisait indéfiniment.
Après ses déboires dans les tranchées, Ferdinand Tirancourt se retrouve au bagne de Cayenne pour y purger une peine qui, comme celle des autres insoumis dont il va partager le quotidien, sera longue et définitive. Envoyé au terrible camp forestier de Charvein, réservé aux fortes têtes, il est pris en grippe par un surveillant qui prend un plaisir pervers à le harceler. Pourtant, ce n'est pas ce qui inquiète le plus Ferdinand ; c'est cet autre prisonnier, étrange et silencieux, qui semble épier le moindre de ses gestes.
Quasimodo a été sauvé. Il est dorénavant l'homme de main d'un noble déchu décidé à se venger de la monarchie française. Fin du XVe siècle.Louis d'Orléans, duc et premier prince de sang, s'est vu refuser la régence du jeune Charles VIII manipulé par sa soeur, la perfide Anne de Beaujeu. Réfugié en Bretagne, Louis prépare la défense de Nantes lorsqu'un homme épris de vengeance lui propose ses services. Pierre le Bâtard, accompagné par un bossu difforme tiré des caves du gibet de Montfaucon, prévient le duc.Anne de Beaujeu et son homme de main, l'impitoyable Axel Lochlain, ont en leur possession deux documents que lui, le Bâtard, est le seul à pouvoir récupérer : deux lettres qui remettent en question la légitimité de Louis au trône de France.
Quasimodo a été sauvé. Il est dorénavant l'homme de main d'un noble déchu décidé à se venger de la monarchie française. Fin du XVe siècle. Louis d'Orléans, duc et premier Prince de sang, s'est vu refuser la régence du jeune Charles VIII manipulé par sa soeur, la perfide Anne de Beaujeu. Réfugié en Bretagne, Louis prépare la défense de Nantes lorsqu'un homme étrange épris de vengeance lui propose ses services. Pierre le Bâtard, accompagné par un bossu difforme tiré des caves du gibet de Montfaucon prévient le duc : Anne de Beaujeu et son homme de main, l'impitoyable Axel Lochlain, ont en leur possession deux documents que lui, le Bâtard, est le seul à pouvoir récupérer : deux lettres qui remettent en question la légitimité de Louis au trône de France.
Parfois, il est des secrets qu'il vaut mieux taire. Pour les habitants du village, il a beau s'être engagé, il n'est qu'un planqué. Un militaire de bureau qui a évité les zones de combat. Et surtout, un lâche qui a fui, grâce à l'armée, les durs travaux de la ferme. Personne ne lui pardonne d'avoir abandonné sa famille, alors que son frère est cloué sur une chaise roulante, victime d'un accident de tracteur pendant son absence. D'enfant du pays, Joseph revient en paria. Par bonheur, l'honneur du village est sauf : le fils du cafetier, lui, a réellement combattu en Algérie. Mais quand il revient à son tour de la guerre, son récit va bousculer bien des certitudes.
Le parcours initiatique d'un jeune garçon dans le crime organisé. Les gens viennent de loin pour acheter les pâtés du père Charon, boucher et maire de son village du Sud-Ouest. Une recette dont il garderait jalousement le secret, s'il n'y avait pas le petit Jacques Pujol.
Fils d'un père violent et d'une mère qui vend son corps à l'homme qui passe, Jacques n'est lié qu'à sa petite soeur Lily qu'il aime éperdument. Mais une nuit, les deux enfants éventent le secret du boucher...
Jacques, devenu meurtrier pour sa survie, raconte sans concession son parcours atypique qui va l'amener à diriger un véritable empire criminel.
Quasimodo a été sauvé. Il est dorénavant l'homme de main d'un noble déchu décidé à se venger de la monarchie française. Fin du XVe siècle. Louis d'Orléans, duc et premier Prince de sang, s'est vu refuser la régence du jeune Charles VIII manipulé par sa soeur, la perfide Anne de Beaujeu. Réfugié en Bretagne, Louis prépare la défense de Nantes lorsqu'un homme étrange épris de vengeance lui propose ses services. Pierre le Bâtard, accompagné par un bossu difforme tiré des caves du gibet de Montfaucon prévient le duc : Anne de Beaujeu et son homme de main, l'impitoyable Axel Lochlain, ont en leur possession deux documents que lui, le Bâtard, est le seul à pouvoir récupérer : deux lettres qui remettent en question la légitimité de Louis au trône de France. Il n'y a rien de plus romanesque que la réalité. Le Bossu de Montfaucon n'est pas une uchronie : les évènements historiques qui jalonnent le récit y sont rigoureusement exacts.