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« Atteindre l'aube est une lettre d'amour à ma grand-tante Georgie. Femme fantasque, femme adorée, inspiratrice, Georgie dont la présence et la voix me manquent tant depuis qu'elle n'est plus là.
C'est aussi un voyage qui m'a emmenée (bien plus loin que je l'imaginais au départ, sur des rivages parfois dangereux, et m'a conduit à m'interroger sur la place des hommes, des pères et des amants dans ma vie, et sur l'amour, tout simplement.
Pour écrire cette lettre fictive, j'ai déployé tout l'arsenal obscur de la mémoire, recoupé des enregistrements, dépecé mes archives, interrogé les vivants. Entre elle et moi, mais aussi entre mes arrière-arrière-grand-mères et elle, entre elles-toutes et moi, se sont mis à exister des ponts. Ont émergé des motifs récurrents, des filiations tacites héritées de notre histoire familiale. Un tableau s'est alors dessiné, au centre duquel trônait l'astre destructeur de la passion ».
_Diglee
« Je suis une fille de mon époque. J'ai découvert l'amour en même temps que #MeToo. Ça ne me concernait pas, pas plus que ça ne m'a affectée. Ma jeunesse me servait d'immunité, j'avais un amoureux, et il me semblait que si je devais croiser la route d'un porc un jour, j'en mourrais. Je me trompais sur tous les points ».
Un monde plus sale que moi est le roman des jeunes filles de #MeToo, celles qui avaient 17 ans en 2017, celles dont on se dit qu'elles sont nées suffisamment tard, dans un monde suffisamment progressiste pour que rien ne puisse leur arriver, mais qui ne sont en réalité pas plus protégées que leurs aînées de la violence des hommes. C'est l'histoire de toutes ces filles qui croyaient devenir femmes alors qu'elles devenaient proies. C'est l'histoire d'une époque - la nôtre.
Capucine Delattre est née en 2000. Éditrice et autrice, elle s'intéresse particulièrement aux questions de la domination masculine, du mythe de l'émancipation par la sexualité et de la condition de victime. Un monde plus sale que moi est son deuxième roman.
En février 2020, sur un coup de tête, Maureen Wingrove a décidé de s'éloigner d'une situation familiale compliquée, de s'éloigner du monde et des réseaux sociaux pour tenter de se retrouver. Direction la Bretagne, pour une semaine de retraite dans une abbaye battue par les embruns. Une semaine dense, intense. Une semaine assaillie par des vagues de souvenirs, par des émotions, par des portraits de femmes, par des rencontres insolites et inoubliables. Une semaine face à elle-même, en quête de sérénité, que Maureen Wingrove partage ici avec nous.
Ressac est le journal de cette parenthèse. Un récit sensible et puissant, à la fois extrêmement intime et universel, qui touchera en plein coeur toutes celles et ceux qui ont déjà éprouvé cette sensation de trop plein, ce désir de prendre le large.
Maureen Wingrove (Diglee) est une illustratrice, autrice de bande dessinée et romancière française. Elle a récemment publié Libres, puis Baiser après MeToo (avec Ovidie). ELle est également passionnée de poésie et de littérature.
« Oui, les femmes écrivent de la poésie (et non, leur poésie n'est ni uniforme ni mièvre). J'avais envie dans ce livre de partager avec vous ces mots qui m'ont tant émue. Et de faire la peau au vieux cliché qui voudrait que la poésie soit un genre littéraire réservé aux bancs de l'école ou, pire encore, à une élite. » _Diglee.
Je serai le feu est une anthologie sensible et subjective, dans laquelle Diglee réunit cinquante poétesses des 19e, 20e et 21e siècles. Certaines d'entre elles sont très connues, d'autres sont tombées dans l'oubli. Toutes ont en commun d'avoir marqué leur époque, et d'avoir écrit de sublimes poèmes. Pour chacune d'entre elles, Diglee a réalisé un portrait ou une illustration originale, rédigé une biographie, et sélectionné ses poèmes préférés.
Rapport au corps et aux normes de beauté, rapport à l'autre et aux sexualités, codes de la pornographie... Les injonctions portant sur le corps et la sexualité des filles sont nombreuses. Pour s'en libérer, il faut les reconnaître et en prendre conscience. Ce sera chose faite grâce à cet essai d'Ovidie illustré par Diglee, qui est un véritable guide d'empowerment destiné aus adoslescentes.
Que l'on soit fille ou garçon,les injonctions portant sur ce que l'on peut ou doit faire - ou non - de son corps et de son apparence sont la norme.
Role models, histoire des vêtements, anecdotes et détails croustillants... ce petit manifeste illustré est fait pour prouver avec humour que chacun.e a bien raison de vouloir faire ce qui lui plait avec son corps et ses vêtements !
Les jeunes enfants ne vivent pas au pays des Bisounours mais dans le même monde que nous : un monde où l'on peut être en colère, où l'on manifeste pour défendre ses droits, un monde où les adultes prennent l'apéro, font (parfois) la fête et sont (souvent) épuisés, un monde où les gens peuvent être tatoués et avoir les cheveux roses, où de mystérieux collages parsèment les murs de la ville, où l'on peut dîner d'une pizza vautrés sur un canapé, où les formes d'amour, de famille et de parentalité sont diverses.
C'est ce monde réel que l'on découvre au fil des pages de cet « imagier de la vraie vie », où se conjuguent la finesse, l'humour et le mordant des textes d'Émilie Chazerand et la beauté des illustrations d'Anna Wanda Gogusey.
L'imagier de la ville brûle est un imagier pas comme les autres, garanti sans doudou ni bavoir, mais fourmillant de détails tendres et cocasses. Il laisse la rumeur du monde pénétrer dans les chambres d'enfants afin qu'ensemble nous puissions échanger sur le monde dans lequel nous vivons toutes et tous.
Après le remarquable et remarqué C'est comme ça que je disparais, Mirion Malle revient avec Adieu triste amour. Dans cette tranche de vie douce-amère et très « nouvelle vague », nous suivons le parcours de Cléo, jeune autrice de BD qui quitte tout du jour au lendemain : une ville (Montréal), un amour dont elle doute et une vie à laquelle elle se sent étrangère. De l'hiver au printemps, du festival d'Angoulême à la Gaspésie, en passant par Montréal, nous la suivons et nous assistons à la naissance d'une nouvelle Cléo, libre de créer, de vivre, d'aimer et d'être tout simplement elle-même.
Comme toujours, Mirion Malle nous entraîne au plus près de son héroïne et de ses émotions au fil de pages superbes réhaussées d'une mise en couleurs remarquable.
Les thèmes de prédilection de Mirion Malle sont là (la sororité, le soutien, l'écoute), et sont traités avec finesse et sensibilité. Tout cela fait de Adieu triste amour un roman graphique aussi fort que joyeux et une superbe histoire d'émancipation, que viennent éclairer les prémisses et la promesse d'un nouvel amour.
Un format innovant qui concilie rigueur scientifique et plaisir de lecture.
Dans ce documentaire jeunesse qui prend la forme d'un roman scientifique immersif, le préhistorien Nicolas Teyssandier nous fait partager la vie d'un groupe de Sapiens vivant sur l'actuel territoire de la Dordogne au Paléolithique supérieur, il y a 35 000 ans.
Un roman documentaire : tout est inventé, mais rien n'est faux ! Tout est basé sur l'état actuel de la recherche en préhistoire. Un dialogue s'installe entre le chercheur et les lecteurs, pour mieux comprendre comment la science reconstitue la vie à la préhistoire, et pour déconstruire les clichés sur les premiers humains, qui ils étaient, comment ils vivaient, etc.
Immersif pour permettre aux jeunes lecteurs et lectrices de se mettre dans la peau des personnages du livre et de se faire une idée très juste de la vie à la préhistoire. Au fil des saisons, les lecteur·rices sont invités à suivre au plus près ce groupe de Sapiens, à partager leur vie et leurs activités et à découvrir leurs conditions de vie, leurs savoir-faire, leurs croyances, leurs rituels, et mille autres détails passionnants sur la vie des premiers humains.
12 illustrations viennent compléter le récit.
Si tu fais partie de l'espèce humaine et que tu as un utérus, tu auras un jour tes règles, comme 3,5 milliards de personnes dans le monde. C'est normal, avoir ses règles est une chose naturelle et un signe de bonne santé ! Pourtant, tu entendras peut-être dire que c'est sale et que tu ne dois surtout pas en parler. Les tabous, la peur, la honte... il est temps d'en finir avec tout ça et de faire enfin tes propres règles ! Élise Thiébaut est journaliste et féministe. Elle aime raconter des histoires et a écrit plusieurs livres, mais aussi des spectacles de feux d'artifices ou une histoire insolite du métro. Elle s'intéresse tellement aux règles que c'est le deuxième livre qu'elle écrit sur ce sujet. Mirion Malle fait de la BD, des dessins, de la sociologie et de la bagarre. Elle parle souvent de féminisme sur son blog Commando Culotte et elle fait aussi des blagues.
L'histoire d'Antigone est ici adaptée aux jeunes lecteurs, sans rien abandonner de ce qui fait la force de personnage et de cette histoire : une héroïne (une vraie !), forte et intransigeante, dont le destin heurte de plein fouet celui d'un tyran qui lui oppose son pouvoir personnel et la raison d'état.
Une jeune fille rebelle, consciente des conséquences de ses actes, qui décide malgré tout d'aller au bout de ses convictions, de ne pas faire de compromis, et d'en payer le prix.
Une jeune fille maudite, dont l'histoire familiale ne peut que l'entraîner vers le drame, mais qui n'essaye pas de s'en détourner.
Elle est intègre, elle est féministe, et elle pose des questions universelles, qui nous concernent toutes et tous, et à tout âge : comment se situer face à l'autorité ? Jusqu'où aller pour défendre ses convictions ? Le compromis est-il parfois une meilleure option?
Pour rendre cette tragédie classique et complexe accessible aux lecteurs à partir de 8 ans, nous proposons une version simplifiée de l'histoire (mais pas édulcorée !), qui est illustrée d'une façon à la fois classique et fantastique. Les jeunes lecteurs se nourriront de ce dessin fouillé et complexe, riche de nombreux détails. Une illustration qui suscite l'envie de s'arrêter, de scruter chaque image à la recherche de tout ce que l'on pourra y trouver... et d'en être récompensé.
La ligue des super féministes est la première BD jeunesse réellement féministe. Elle s'adresse aux enfants dès 10 ans et aborde des thèmes inédits en jeunesse : la représentation, le sexisme, le consentement, le corps des filles, les notions de genre et d'identité sexuelle...
Les chapitres sont complétés par des pages d'outils théoriques indispensables à tout âge (argumentaires, test de Bechdel...) qui font de cette BD un véritable petit guide d'autodéfense féministe, salutaire à l'âge où s'installent les stéréotypes sexistes.
Mirion Malle est la plus talentueuse et la plus drôle des autrices de BD didactique : elle relève le défi haut la main, et nous livre ici une BD didactique et engagée, efficace et accessible, et surtout super fraîche et drôlissime !
Très attendue, C'est comme ça que je disparais est la première fiction de Mirion Malle, bien connue pour ses BD didactiques féministes, engagées et aussi percutantes qu'hilarantes. C'est comme ça que je disparais est une tranche de vie douce-amère, pop et très « nouvelle vague ». Mirion Malle nous entraîne au plus près des personnages et de leurs émotions, au plus près aussi du mal-être et de la dépression vécue par l'héroïne, Clara, dans laquelle nombre de jeunes adultes se reconnaîtront.
Cette BD aborde en effet des sujets graves, tels que les violences sexuelles, la santé mentale, la dépression. Et Mirion Malle, avec le talent qui est le sien, le fait avec énormément de sensibilité et de pudeur (avec humour aussi, bien sûr !), par petites touches impressionnistes et sensibles composant un tableau particulièrement touchant.
On y retrouve par ailleurs l'univers et les thèmes de prédilection de Mirion Malle (le féminisme, la sororité, le soutien, l'écoute, le karaoké, les chansons des années 2000, la communication et les réseaux sociaux) et l'on y découvre la vie à Montréal (et le parler québécois qui va avec !).
Louise, en rupture d'autorité et d'identité et sa petite soeur Marion passent quelques jours seules à la maison : leur mère a quitté le foyer, et leur père doit partir une petite semaine pour motifs professionnels.
La fête de la première soirée se prolonge, et le groupe d'ados invités par Louise prend possession de la maison, sous le regard de la jeune Marion, témoin des événements.
Parmi les ados il y a Aurora, arrivée d'on ne sait où et que personne ne connaît. Une personnalité aussi charismatique que borderline, fracassée par la vie, qui entraînera Louise loin, très loin, de sa vie d'adolescente de banlieue - jusqu'au vertige.
Internet, le web et les nouvelles technologies font partie de nos vies, pour aujourd'hui et pour toujours. Ce n'est pas un monde à part, et réfléchir aux liens entre le numérique et le monde dans lequel nous vivons, c'est tenter de répondre à de nombreuses questions qui ont un impact immédiat sur nos vies et sur le monde dans lequel nous vivons.
Les grandes entreprises qui dominent le web sont-elles dangereuses ? Une intelligence artificielle peut-elle être stupide ? Internet est-il raciste et sexiste ? Pourquoi se sent-on moche sur les réseaux sociaux ? Qui a dit que les smartphones rendaient les ados bêtes et tristes ? Et bien d'autres encore...
Ce petit livre destiné aux ados est une invitation à réfléchir à leur fonctionnement et à leurs conséquences, pour construire un futur connecté, inclusif et plus juste !
Films, séries, jeux vidéo, publicités, pornographie... Toutes et tous, nous vivons et grandissons dans un monde où règnent les images. Ces images ont une influence sur ce que nous sommes, sur ce que nous pensons, sur la manière dont on vit, dont on pense, dont on aime. Et parmi toutes ces images la manière dont on filme le corps des femmes et des hommes a un impact sur nos vies. Après" Sex and the Series" et "Le regard féminin", Iris Brey décrypte la nature de ces images (qui les produit ? pour qui ? pour quoi ?) et leurs effets, explique l'importance des concepts de male gaze et de female gaze, et donne aux ados des clés pour changer de regard.
Iris Brey est journaliste, autrice et critique de cinéma, spécialiste des représentations de genre et des sexualités au cinéma et dans les séries.
Mirion Malle est autrice de BD. Elle a publié deux BD didactiques (Commando Culotte, La ligue des super-féministes). Elle a publié en janvier 2020 sa première BD de fiction, C'est comme ça que je disparais.
Une succession de tranches de vie partagées par une mère célibataire et sa fille, racontée avec naïveté et simplicité par cette dernière. Des moments de tendresse ordinaire (calins, bisou du soir, sortie au square) succèdent à d'autres qui le sont beaucoup moins (rave, vernissage, perfomances artistiques, manifestation féministe...).
Une famille monoparentale, une mère féministe aussi libre que fantaisiste, une enfant qui grandit entourée d'adultes hors normes mais bienveillants... Cet album prônant la liberté de choix de vie, la tolérance et l'inclusivité est un petit bijou à bien des égards : par la simplicité et l'universalité de son propos, par les modèles différents de famille et de parentalité qu'il montre en toute simplicité, et qui permettront à nombre d'enfants de reconnaître et de voir leur famille représentée, par la beauté des illustrations d'Anna Wanda Gogusey, par l'actualité de son propos, alors que chaque avancée sociétale voit la frange la plus réactionnaire de la population française monter au créneau...
Lorsque les yeux de Sofia se ferment, un minuscule monde magique apparaît sous ses paupières. Un monde peuplé de lutines et de lutins, où l'on a pour amies la Fée-Ministe, son épouse la Fée-Moustache et leur chien Boubou, un monde où l'on peut être libre et différent·e, comme cela vous chante !
Que se passe-t-il dans les rêves de Sofia ? Vous le découvrirez dans le premier album jeunesse de la chanteuse Pomme qui dévoile ici une autre facette de son immense talent de créatrice d'univers et de raconteuse d'histoires, mis en valeur par les adorables illustrations de la très talentueuse Pauline de Tarragon.
Cette histoire pleine de fantaisie et de douceur réconciliera les enfants avec l'heure de la sieste, et séduira les adultes par son double niveau de lecture.
Un cahier de rêves invite les enfants à écrire ou dessiner leurs rêves préférés, et un encart de 8 pages inséré à la fin du livre permet de prolonger l'univers du livre (poupée à découper et petits vêtements, journal du monde magique...).
Une dystopie féministe et anticapitaliste pour les ados.
L'orage qui vient s'ouvre sur une course. Une course qui s'achève par la vision de dents affûtées plongeant dans la chair d'une brebis. Qui tue et mange cette bête innocente ? Les premiers chapitres du roman ados/young adult de Louise Mey nous éloignent de cette figure affamée pour nous plonger dans la vie quotidienne du Hameau. Nous y rencontrons Mila, une adolescente de 15 ans qui vit entourée de femmes et d'enfants. Le monde tel que nous le connaissons a disparu après un événement que les habitant·es nomment la Rétractation. Des communautés se sont reconstruites, même si le danger continue de gronder au-delà des portes du Hameau.
Savez-vous que le mot « féminisme » est issu du vocabulaire médical ? Que l'on doit l'un des discours les plus importants de l'histoire des femmes à une esclave afro-américaine qui ne savait pas lire ? Que les femmes n'ont jamais brûlé leur soutien-gorge dans les années 1970 ? Que Wonder Woman a été créée par un homme polyamoureux adepte de bondage, qui souhaitait faire de la propagande féministe ?
Concepts, théorie, mèmes, figures marquantes, petites et grandes histoires, références indispensables... De A comme Adelphité à W comme Womanism, Herstory vous propose une plongée passionnante dans l'histoire des féminismes.
Ni poupées, ni super-héros, on est des super-égaux reprend les albums On n'est pas des poupées et On n'est pas des super-héros . Il répond avec humour, et sans tourner autour du pot, à des questions clés : comment être soi-même et pas ce que les autres voudraient que l'on soit ?
Comment grandir en s'a ranchissant des stéréotypes de genre ? Et une fois que l'on a déconstruit, que reconstruira-t-on ?
Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon, célèbres sociologues passés maîtres dans l'art de décortiquer les inégalités, proposent une édition complétée et actualisée de ce petit manuel de pensée critique à lire et relire, de 9 à 99 ans ! Avec clarté, pédagogie et humour, ils expliquent les mécanismes et les enjeux du monde social. Cette opération de dévoilement permettra aux jeunes (et aux moins jeunes) lecteur·rices de dépasser le stade du ressenti pour accéder à la compréhension des déterminismes sociaux qui entrent en jeu : les riches, les pauvres oui, c'est injuste... mais pas seulement !
Pourquoi les riches sont-ils de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres ? s'attaque aux mécanismes de la domination sociale. Qu'est-ce qu'une classe sociale ? À quoi reconnaît-on les riches ? Que font-ils avec leur argent et pourquoi ne le partagent-ils pas avec ceux qui manquent de tout ? A-t-on besoin des riches ? 20 questions pour rendre compte d'une réalité sociale complexe sont croquées ici avec finesse et humour par l'illustrateur Étienne Lécroart. Un essai jeunesse exceptionnel pour aiguiser l'esprit critique et donner envie de changer le monde !
Claudin rentre chez lui affolé : sa femme Résine est accusée d'être une sorcière. Ils s'enfuient et commencent une nouvelle vie dans le village de Floriboule, mais leur arrivée est à l'origine de nombreux problèmes : accusations infondées, procès en sorcellerie, confrontation avec des villageois aussi sexistes qu'obscurantistes. Résine, Claudin et leurs allié.es (l'apothiqueresse et sa compagne, la boulangère Amarante et le lutin Scorbul) essayent de rétablir la justice et d'échapper au bûcher.
On retrouve dans Résine l'univers fantasticomédiéval et l'humour d'Elodie Shanta au service d'un récit incisif et de problématiques plus graves, telles que le sexisme et les violences faites aux femmes. Il est aussi question dans Résine de sororité, d'entraide, de l'importance de dépasser les apparences... et d'amour !
Félixe, Diane, Prune, Mi et Bébé partagent une maison pas comme les autres, qui chaque nuit se déplace : en ville, au sommet d'une montagne...
Pourquoi cette maison a-t-elle la bougeotte ? Jusqu'où ira-t-elle ? La réponse est dans cette BD adorable, sensible et pleine d'humour.
Félixe et la maison qui marchait la nuit évoque avec beaucoup de finesse le deuil et la tristesse, mais c'est aussi un véritable hymne au soutien, à l'amitié et à la sororité.