Peut-on vivre heureux sans croire ? Quels outils avons-nous à notre disposition pour construire notre être avec bonheur et joie ? Faut-il absolument être croyant pour sentir la vie en soi, exister dans ce qui est son réel et être fondamentalement libre dès à présent ? Nous devons donc accepter de porter un regard « neuf » sans rester dans une représentation binaire de notre raison. Aussi, il est important de pouvoir quitter une idéologie ou une croyance, de relire son parcours et d'en mesurer toute la complexité. Telle est l'invitation que fait Marie Odile Nicolas-Lafont au lecteur de À l'ombre des croyances...
L'histoire du climat démontre des changements bien éloignés de la seule teneur en CO2 de l'atmosphère et de l'activité humaine. Actuellement, nous sommes en période interglaciaire, ce qui explique un réchauffement normal, en dépit de phénomènes météorologiques parfois violents et inattendus. Cependant, des facteurs non maîtrisables, tels que le volcanisme, peuvent remettre en question cette évolution comme cela a déjà été le cas autrefois. Le présent essai apporte des clarifications sur le changement climatique, loin des assertions des médias.
« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont. » Ces mots sont ceux de Descartes dans le Discours de la méthode.
À nous d'essayer de nous faire une opinion...
« Leur logis était-il une manière de les découvrir un peu mieux ?
Il était semblable au nôtre, deux étages plus haut mais lourdement décoré dans un style hybride, baroque italien et un peu français. Des objets magnifiques, lustre et chandeliers style nouille, deux vases aussi signés Gallé, table et buffet italiens avec une marqueterie compliquée. Et aussi de nombreux objets traditionnels japonais, soucoupes anciennes en laque, porcelaine fine, petits plateaux de bois servant autrefois à présenter les cartes de visite. Le tout semblait avoir été posé là sans recherche d'urbanisation de l'ameublement. La table, les buffets, les fauteuils solides et cossus n'arrivaient pas à effacer une impression de provisoire. Pourquoi cette apparence d'opulence était-elle comme brouillée par le sentiment diffus que tout pouvait s'effacer un jour sous les ravages d'un séisme, d'un revers de fortune... ? »
L'éloge de ma connerie est une recherche de spiritualité laïque au sein du « Cercle », avec son idéal de progression personnelle, de fraternité entre les êtres humains, quels qu'ils soient. Le parti pris est une typologie de la « connerie » divisée en trois niveaux d'intensité : estimable, méprisable, haïssable, trois variantes qui parasitent la quête d'essentiel, la vie démocratique, politique, économique et culturelle avec le généreux concours de virtuoses de l'imposture...
L'arrivée du Covid a montré que l'humanité est impuissante face à la maladie.
Certes, on trouve des moyens pour enrayer les effets, mais les causes sont plus profondes.
Aussi, on ne peut pas s'empêcher de penser aux paroles d'André Malraux qui disait :
« Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas ».
L'humanité souffre en effet de l'absence de spiritualité. À cela s'ajoute l'antihumanisme qui est arrivé à son paroxysme.
Comment être aidé pour pouvoir accepter d'être aidé, qui est le second volet du livre L'humanité enfant prodigue, démontre qu'on ne peut plus vivre comme avant et qu'il faudrait, en quelque sorte, « renaître à nouveau ».
Les premiers dirigeants de l'Algérie indépendante ont instauré l'arabisme.
Cette faute culturelle (Mouloud Mammeri) a ouvert les bras à l'islam politique qui a plongé le pays dans le marasme économique, social, culturel... dont la conséquence est l'institutionnalisation de l'islam politique.
Ce dernier trouve son prolongement logique en France, attendu l'histoire des deux pays. L'islam politique en France est une réalité que tout le monde admet aujourd'hui.
Par naïveté, par déni, par paresse intellectuelle, par culpabilité et parfois par calculs, les autorités politiques mesurent très mal la capacité de nuisance de ce phénomène dans notre pays.
Alors que faire ?
Maria Pia Briffaut, présidente d'une association de personnes nées sous X, réalise des mises en relation entre des femmes qui ont accouché dans l'anonymat et les enfants devenus adultes qu'elles sont parvenues à retrouver. Pour la plupart, ces femmes lui affirment avoir vécu l'accouchement sous X non comme une liberté, mais au contraire comme une contrainte et une source de souffrances sans fin. L'auteur vous livre les témoignages de plusieurs d'entre elles et les analyse. En outre, pour la première fois, des femmes témoignent par écrit du vol d'enfant dont elles disent avoir été victimes en France. Vol d'enfant maquillé en accouchement sous X. Nadine Lefaucheur, sociologue et historienne, Odile Roy, membre du Centre d'Études Juridiques Européennes et Comparées ainsi que Pierre Verdier, Avocat au Barreau de Paris et président de la CADCO (Coordination des Actions pour le droit à la connaissance des origines) ont contribué à replacer cet essai dans son contexte historique, sociétal et juridique.
La fin du monde est peut-être remise à une date ultérieure est un ouvrage dans lequel un certain nombre d'actions individuelles sont proposées pour un mieux vivre aujourd'hui et dans le futur en dépit des nombreux défis climatiques, énergétiques, alimentaires, environnementaux.
Dans une approche empirique, Philippe Saint-Ange propose à son public un enseignement sur la spiritualité, inspiré des anges et de ses guides.
Il tente de sortir le lecteur de sa zone de confort en le forçant à se remettre en question pour améliorer la qualité de sa vie afin de remonter, au dernier jour, vers la lumière, rempli d'expérience humaine enrichissante.
Il donne au lecteur de prendre conscience qu'il n'est pas un être humain vivant une expérience spirituelle, mais un être spirituel ayant une expérience humaine.
Cet ouvrage retrace le parcours PMA d'un couple à travers les yeux d'un homme, de l'envie de concevoir un enfant à la mise en oeuvre des protocoles à répétition. Les espoirs mois après mois, la rencontre avec le corps médical, chaque rendez-vous, chaque situation vécue par le couple est présente. Au travers d'illustrations, l'auteur partage avec nous sa place, ses questionnements, ses inquiétudes, ses peurs, tout au long de ce processus. Il nous laisse entrevoir ce qu'il a pu ressentir durant ce parcours et nous propose, souvent avec humour, le regard d'un homme au fil des évènements et des situations parfois déstabilisantes vécues. Il parvient ainsi à désacraliser des moments de vie difficiles à encaisser et ouvre une perspective différente pouvant être utile à une compagne, mais également à une famille, des amis, des proches de couples engagés dans un tel processus.
«... En écrivant ce livre, Guy Créquie s'est lancé un pari ambitieux :
Prendre le lecteur par la main pour le guider sur le chemin de notre histoire collective. Ce chemin, qui parcourt les événements de la pandémie d'octobre 2020 à l'hiver 2021, nous est familier puisqu'il relate une histoire que nous venons de vivre, intensément. Mais c'est aussi un chemin multiple, complexe et trouble. Guy Créquie nous emmène vers demain en posant les questions de notre humanité présente et future...
L'expression citoyenne que Guy Créquie nous livre à travers cet ouvrage est une pierre à l'édifice d'un monde à gagner. »
La vie sur Terre est dure, car nous ne savons pas y vivre... Si elle était faite de plus d'Amour, nous réussirions à Vivre beaucoup plus dignement.
Sans vouloir remettre en question les travaux développés par des maîtres et des mouvements spirituels, l'auteur use, loin de toute prétention, de références pour donner au lecteur des outils afin qu'il trouve le chemin. Pour lui, d'une manière ou d'une autre, seule La Vérité Triomphera.
Quel destin social pour le foisonnement d'idées dont les enfants emplissent l'école ? Comment se positionnent des élèves de primaire face à des sujets socio-philosophiques ? Et si les salles de classe se transformaient en creusets de sagesse populaire... En immersion au coeur de dix débats philosophiques, laissez les mots de jeunes rafraîchir vos croyances, chatouiller vos zygomatiques ou impacter vos idéaux. Le professeur n'est jamais loin et partage ses réflexions comme éventuels éclairages pédagogiques.
Le chef de l'État incarne la souveraineté de son peuple. Ainsi, tuer un président en fonction dans sa résidence privée constitue la plus grande atteinte à la puissance d'une nation. L'assassinat du président de la République d'Haïti, monsieur Jovenel Moïse, dans la nuit du 6 au 7 juillet 2021, est un acte honteux et humiliant pour ce pays. Afin de montrer aux autorités judiciaires le chemin à suivre pour appliquer la loi dans cette affaire, l'auteur a choisi d'exposer le déroulement du procès de ce meurtre.
Oui ou non à l'immigration de masse ? L'auteur expose les positions contraires qui divisent les Français.
Entre partisans d'un accueil ouvert et généreux, adeptes d'une France multiculturelle et fractionnée par divers communitarismes, d'une part, et les nationaux résolument inquiets pour la sauvegarde de l'identité française, résolus à renvoyer les irréguliers et à limiter drastiquement le nombre des nouveaux arrivants, d'autre part, ces positions paraissent irréconciliables.
Il propose donc une alternative, à peine évoquée, mais sans conviction, dans les discours de certains... Que tous, on se préoccupe en premier lieu pour les persécutés, exploités, pauvres à la vie insupportable, quand ils sont chez eux, avant qu'ils ne quittent leur pays et ne soient pris souvent dans les filets de trafiquants maffieux. Qu'on les aide d'abord sur place, par un engagement caritatif - il s'agit d'aimer en vérité - bien plus décisif que celui aujourd'hui pratiqué, de nature associatif, certes, mais surtout politique, socio-économique, culturel et militaire, destiné à supprimer à la source les causes structurelles du malheur des gens.
Car les immigrés, demandeurs d'asile ou réfugiés économiques, ne quittent pas leur pays de gaieté de coeur.
Que les élus et nous-mêmes nous décidions d'être éclairés et entraînés, pour la libération et le développement des peuples, par la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948, bien supérieure au « Pacte de Marrakech pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » de 2018, lequel représente une fuite en avant des Nations Unies.
Nous sommes ouverts, nous aspirons même, à un bonheur infini et impérissable. Cet élan nous traverse par éclairs ou nous soulève durablement : lorsque nous ressentons des moments de plénitude qui nous donnent à entrevoir et espérer l'Absolu.
Ou, à l'inverse, lorsque les maux et malheurs des hommes sont tellement inacceptables et révoltants qu'on éprouve l'impérieuse nécessité de rebondir dans l'espoir d'un autre monde lumineux, entièrement libéré du mal.
Cependant, pour atteindre ces buts gratifiants, il faudrait que nous fussions vivants pour toujours dans un au-delà qui nous échappe, capables de traverser victorieusement notre triste et inéluctable condition mortelle.
Question : sommes-nous donc des êtres contradictoires et apparemment mal fagotés, par constitution ? Avides d'un bonheur complet et définitif qui nous rassasie entièrement, mais en dépit de cette soif, des êtres limités et mortels dont le destin clos est de disparaître inexorablement ?
Deux solutions : consentir à notre finitude irrémédiable et sans issue, attitude de démission résignée ou stoïque, souvent influencée par le positivisme et le scientisme ambiant.
Ou bien, nous laisser emporter par la puissance des désirs immenses qui nous visitent et réjouissent l'esprit et le coeur. Bien des personnes authentiquement religieuses accèdent spontanément à cette voie.
Le choix ici proposé, de façon laïque, de la deuxième solution, n'est pas un doux rêve compensatoire et inconsistant : il prend appui sur une vision d'anthropologie métaphysique et morale - aujourd'hui largement ignorée ou rejetée - philosophiquement rigoureuse et bien outillée.
It is so difficult to summarize a text that farandoles. It is a bric-a-brac, strings of words, words that smile at life, words that bind together in a multitude of sunshine.
These are texts that live in every reader.
Read and smile.
La société française a subi plusieurs mutations au cours de ces dernières années dues au changement de la constitution par le Général de Gaulle. Pour s'apercevoir qu'il demeure le seul en mesure d'appliquer cette nouvelle constitution, la solution reste de retourner aux débuts de la Ve République. Les présidents, qui l'ont succédé, n'ont fait que dénaturer la substance de ces lois pour un besoin illimité d'Europe. En agissant de cette manière, ils n'ont respecté ni l'homme qu'il était ni les Français.
L'intention au c¿ur de ce livre est, d'une part, de restituer à l'exercice d'écriture sa noblesse et son ustensilité et, d'autre part, d'inviter nos contemporains, à la suite de Montaigne, à se soucier davantage d'eux-mêmes. C'est la meilleure façon de résister aux nombreuses sollicitations de la vie quotidienne qui risquent de nous écarter de nos profondes convictions pour devenir enfin étrangers à nous-mêmes. À travers l'étude des Essais, nous apercevons que chez Montaigne s'allient une triple volonté : le souci de soi, la transformation de soi et le désir d'une meilleure connaissance de son humaine condition. C'est probablement ce qui explique toute la puissance de son écriture. L'unité et la cohérence de son ¿uvre s'expriment à travers son ardent désir de s'établir en lui-même pour mieux s'occuper de lui.
Vouloir se lancer dans une exploration approfondie de l'univers d'Hubert-Félix Thiéfaine, c'est, à coup sûr, entreprendre un voyage périlleux. Partir pour un aller simple sans garantie de retour. Modestement, ce « dictionnaire amoureux » non officiel, non exhaustif, en dépit de ses quelque 850 entrées, et non définitif (dans l'attente des prochains albums de ce « vieux désespoir de la chanson française ») plonge dans les textes de ce chanteur hors-norme pour en extraire quelques clés qui ouvriront des portes dont vous ne soupçonniez peut-être même pas l'existence.
Dans ce premier tome, Être soi-même, l'étude porte avant tout sur la relation de chacun vis-à-vis de lui-même, tout en prenant bien évidemment en compte l'aspect social, juridique, politique et historique. Comment être soi-même dans notre société ? Comment exprimer son identité ? Quelle est cette identité ? À travers quatre thématiques, l'éthique animale, la nationalité, les croyances et la laïcité, la citoyenneté, le lecteur est conduit à réfléchir à son identité nécessairement métissée, à appréhender les liens qui l'unissent à la Terre, à un territoire, à une population, à un « au-delà » le cas échéant.
Le cavalier budgétaire est une technique très compromettante qui permet d'introduire dans les lois de finances des dispositions législatives qui n'y ont pas leur place. Cette pratique est très dangereuse car elle pollue le climat des affaires par l'instabilité juridique qu'elle peut provoquer dès lors que des dispositions de lois fondamentales sont abrogées ou amendées par le truchement de simples articles de lois de finances. Cet ouvrage met en avant cette technique proscrite sous d'autres cieux mais abusivement utilisée en Algérie au point qu'il n'existe aucune branche du droit algérien qui a pu échapper à l'influence des cavaliers budgétaires.
Il est regrettable que l'Afrique sub-saharienne ignore la corrélation entre écologie et santé ou simplement l'exigence écologique comme une dimension intrinsèque de la vie et de la santé. En d'autres termes, l'homme africain n'a pas encore renforcé son imaginaire écologique, alors qu'il peut, individuellement et collectivement, faire l'expérience du lien entre sa santé et son milieu, donc entre sa santé et ses actions sur son milieu de vie.
En tout cas, contre toute forme de fatalisme, l'Abbé Gracias Martial Samba propose un nouveau paradigme propice à une éducation verte, une politique verte, une économie verte, une pastorale verte et une médiatisation verte.