Reflet d'une jeune femme moderne, Lisa se doit d'être une femme parfaite, une maman idéale, une employée modèle, une meilleure amie à l'écoute, et elle doit se visser bien d'autres casquettes encore sur la tête.
Consciente que son couple meurt, elle se bat pour le sauver, tout en portant les problèmes de sa famille sur ses épaules.
Un jour, une rencontre inattendue change sa vie. Soutenue par son amie de toujours et par son jeune frère, Lisa va trouver la force de surmonter ses craintes et ses doutes pour s'ouvrir à la vie qu'elle mérite, oser vivre ses rêves et apprendre à s'affirmer. Complexée par son physique et persuadée de ne pas être au goût des hommes, elle va finir par s'accepter et croquer la vie à pleine dent. Une belle aventure dans un pays complètement étranger va l'aider à se retrouver.
Seule face aux contraintes qui l'envahissent, Mythica Tory a tout pour réussir : elle est maligne, surprenante, et a un curriculum vitæ bien rempli pour une personne de son âge. Mais rien ne se passe comme elle l'imagine. Passionnée par l'écriture, elle envoie son manuscrit à de nombreuses maisons d'édition. Son père est le responsable adjoint de l'une de ces maisons. Prête à tout pour en apprendre davantage sur son géniteur, elle s'aventure dans un jeu qui s'avère dangereux. Consciente qu'elle peut tout gagner ou tout perdre, elle décide de tenter sa chance, tout en risquant de dévoiler un secret qu'elle garde depuis longtemps. Saura-t-elle gérer la situation à laquelle elle est confrontée ? Son géniteur deviendra-t-il un père aimant ou restera-t-il un inconnu ?Anne Nayagom est née en 2001. Elle écrit depuis l'âge de 10 ans afin de s'évader et de vagabonder dans les univers qu'elle construit. Elle signe avec J'ai l'enjeu son premier roman.
Adam Nayagom était un être intelligent, sensible et brave. À travers cette courte biographie, je souhaite lui rendre hommage.Vous vous apprêtez à le découvrir, à connaître son univers et à partager son vécu. Mon frère a marqué l'esprit de beaucoup de personnes, pourquoi ne marquerait-il pas le vôtre ? De sa naissance à son adolescence, je vous invite à le rencontrer.Il n'avait que dix-huit ans. Pourtant, il était doté d'une grande maturité.Laissez-vous emporter par Adam, un champion parti trop tôt.Anne Nayagom est née en 2001. Elle écrit depuis l'âge de 10 ans afin de s'évader et de vagabonder dans les univers qu'elle construit. Après J'ai l'enjeu, elle publie Le Adam aux Éditions Vérone, en hommage à son frère décédé.
Couché sur un brancard, je vois le plafond s'écouler. Je vois des tubes lumineux masqués par des grilles. Des carrés de 50 sur 50 se succèdent au-dessus de moi. C'est le plafond d'un couloir d'un service médical que je quitte couché, poussé par des ambulanciers. Je demande à faire un arrêt au stand, à la salle des soignants, pour les saluer et remercier une dernière (?) fois. Mais, je tombe mal, c'est l'heure des transmissions, l'heure des échanges d'informations d'équipe à équipe. Des sourires s'échangent, des encouragements, des remerciements rapides sont exprimés, mais de manière assez impersonnelle...
L'histoire nous décrit, en quatre nouvelles, la vie des hommes à la recherche de leurs âmes soeurs. Ils ne peuvent vivre sans elles, alors ils tentent de les apprivoiser.Ces accros à la beauté diaboliquement féminine vont faire la rencontre de leur antihéros, homosexuel refoulé. Ils vont devoir affronter un monde dominé par les femmes. Leurs confidences réciproques vont les rapprocher et les lier, intimement. Jusqu'à les unir ?Plutôt détonant, cet ouvrage mêle la musique à la plume humoristique et aiguisée de l'auteur.Gérald Wittock est un auteur-compositeur né à Rome en 1966. Depuis son plus jeune âge, il voyage énormément, ce qui lui permet de parler couramment six langues. En 1992, il démissionne de son poste de cadre dans une multinationale et crée sa maison d'édition et de production audiovisuelle. En 2005, il monte son propre label, NO2 Records. Après avoir parcouru le monde, il s'installe à Marseille en 2011 et se consacre à l'écriture.
Adèl est un jeune adulte gagné par la paupérisation, qui vit dans le dénuement depuis sa plus tendre enfance. Petit à petit, il se heurte aux fatalités de la société et rêve d'un monde meilleur. Un jour, dans les bois, après s'être fait dérober ses derniers vivres, il se téléporte à travers un portail magnétique dans un univers parallèle et y découvre un village où il trouve son idéal.Les habitants, issus de la même classe sociale que lui, souhaitent étendre leurs idées et leur vision du monde dans leur terre natale. Un voyage initiatique attend donc Adèl et ses compagnons qui doivent atteindre le mont Hidad et accomplir une mission primordiale à la survie de l'humanité. Vont-ils réussir ? Quelle sera leur destinée ? Adèl réussira-t-il à motiver ses troupes et surtout éviter l'anéantissement de la société ?Chakib Baho est né en 2007 en Algérie. Il perd sa mère à l'âge de 5 ans et est élevé par ses grands-parents. À 11 ans, il s'installe en France auprès de sa tante. En 2019 et en 2020, il participe au concours Prix Ouest Jeunesse, consistant à écrire un récit sur un thème particulier, et finit par être lauréat durant les deux années.
« La nature fait bien les choses, dit-on fréquemment ! En avril 1952 à la Clinique Lemaistre dans la ville de Pointe-à-Pitre en Guadeloupe, dans la valse des berceaux changeant sans cesse leurs occupants, il y a eu durant la même semaine deux naissances, une fille : c'était moi, puis un garçon : c'était lui. »Quarante ans plus tard nos chemins se croisent et un mariage viendra sceller les retrouvailles. Puis, on diagnostique à mon époux une grave maladie, nécessitant une prise en charge immédiate en Hospitalisation à Domicile en soins palliatifs. En qualité d'Aidant, je construis des stratégies de protection et de défense, pour éviter de succomber à l'épuisement. Nous devons modifier nos projets tout en gardant espoir en des jours meilleurs, mais en étant pleinement conscients de l'existant.« Si vous vivez un moment difficile, ne blâmez pas la vie. Vous êtes juste en train de devenir plus fort »GandhiArsenia Rousseau Arlequin, après avoir travaillé au sein d'une compagnie aérienne en tant qu'hôtesse de l'air pendant de nombreuses années, devient directrice dans un centre de formation pour adultes et intervenante à l'Université des Antilles. Impliquée dans le bénévolat, elle continue à aider ceux qui en ont besoin. Aujourd'hui, elle nous livre un témoignage poignant.
Octobre, novembre, l'adepte de la voile guette l'aigrette blanche à l'horizon, les voliers qui du large amènent Eole dans leurs ailes, le plaisir de naviguer de nouveau, le pain sur la table.
Bordée de rouges falaises, une paisible station balnéaire baignée par la mer de Chine, balayée par la mousson. Arène de glisse nautique où l'on entend saluer en sourdine ceux qui vont mourir, îlot cosmopolite noyé dans un océan de natifs. C'est ici que débarque se faire moniteur de kitesurf un indigène au passé chargé, Nègre-Jaune, qui n'a jamais vu la mer. À la Cage aux cerfs-volants, club de voile quatre étoiles, notre blanc-bec quinquagénaire tombe amoureux de la jeune masseuse vedette.
« La vie n'est pas juste, c'est juste la vie. » Chance (il n'y croit pas), opportunités (il les saisit), Philippe Saubadine investit pleinement la vie par ses choix qui sont l'antidote à la résignation.
« J'habite à Ouargla, territoire des Oasis dans le Sahara algérien, nous sommes au mois de mars 1957 et je vais vers mes six ans. » L'auteur entame dès lors une vie de nomade. Son enfance saharienne le confronte tôt à la différence, lui seul petit blanc au milieu des enfants arabes et noirs dans l'école primaire à classe et instituteur uniques. Cette différence, il la côtoie à nouveau lorsqu'il rentre à Bayonne, lui couleur pruneau au milieu des petits basques, landais, et espagnols réfugiés.
Du Pays basque à Paris, de Lyon à Pau, son parcours non linéaire le conduit aussi outre-océans : Afrique, Moyen-Orient, Amérique latine. Volonté et circonstances vont l'amener à découvrir l'origine de son patronyme, intégrer les troupes aéroportées, naviguer sur l'Ogooué pour livrer des vaccins, assister au retour de Khomeiny à Téhéran, être admis au repas d'une famille de paysans mayas. Et, surtout, à comprendre les cultures et les traditions. Ne rien forcer, ne rien rejeter mais admettre.
Éric, Baptiste, Henri, Annette, Louis et Hélène, six enfants âgés de 4 à 6 ans, partagent une destinée à fendre l'âme. Tous issus de parents décédés ou défaillants, ils se voient placés dans une famille d'accueil commune et maltraitante. Pour ne pas mourir de chagrin, ils créent un lien proche de celui du sang, qui n'existe que par leur seule volonté. Ils se décrètent frères, mettent leurs larmes dans leur poche, et un mouchoir par-dessus. Ils vivent mille histoires, tristes ou joyeuses, et font un voeu. Pour le voir se réaliser, ils sont prêts à tous les sacrifices.
« Mon Dieu, je ne comprends pas pourquoi ma mère est morte le jour où je suis né, et je ne comprends pas pourquoi la maladie a tué mon papa. Il était si gentil et je l'aime tant... je t'attends. J'ai rempli ma valise. J'ai pris un pyjama, un pantalon, un tricot, une paire de chaussettes, une culotte... et mes livres. Sans eux, mon gentil Dieu, je serais parti avec mon père. Mais j'avais trop peur de la mort... aujourd'hui je me tiens prêt. » Les jours passèrent... et Baptiste posa ses valises, ses chagrins, ses espoirs et tout le reste, à côté de ceux d'Éric...
À l'âge adulte, ils ont décidé de raconter leur histoire.
« ... Marian était jolie. À plus de cinquante-six ans, elle lui semblait encore plus belle que la jeune femme un peu boudeuse qu'il avait connu à vingt ans, ses yeux, ses lèvres, ses seins, ses fesses, son sexe, il aimait tout mais plus encore il aimait quand elle le regardait, elle transpirait l'amour par tous les pores de sa douce peau et lui, pourtant difficilement sensible, il ressentait toujours ça au travers même de ses chairs.
Son attention dut se détourner de sa compagne et co-pilote (c'est elle qui effectuait tous les réglages et vérifications inhérents aux manoeuvres), car la procédure d'accostage sur Pari IM, demandait pas mal d'attention. Il était soucieux : « Que pouvait bien vouloir Mary Pôl, la Conseillère Nationale qui lui avait fait savoir qu'elle souhaitait s'entretenir avec eux avant la tenue du Concile Supérieur ?... » Gérard KEIFF est né le 6 janvier 1958 à Alger.
Il vit dans le sud de la France.
Il a exercé de nombreux petits boulots avant d'intégrer la Banque de France en 1982. Il est l'un des membres fondateurs de SOS Racisme dans la région PACA et a participé à la création de la première Maison des Potes en France. Politique engagé au Parti Socialiste pendant huit années. Syndicaliste pratiquant pendant trente-cinq ans. Coordinateur National des Comités d'Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail de la Banque de France durant dix ans. Aujourd'hui, libre de tout : fonction, appareil ou obédience, il livre ici son premier roman de « fiction ? » Un livre... bizarre.
Le présent opuscule vise à une présentation partielle de l'imaginaire qui habite la culture créole guyanaise. Les enjeux de l'écosystème linguistique créole-français irriguent les textes. Lecteur c'est donc une invitation au canotage entre terres et eaux, air et mots pour découvrir la lointaine Guyane amazonienne.
En résonance avec l'essai du linguiste Bernabé, Obidjoul, paru en 2013. Un des textes en créole souligne les mécanismes qui sont à l'oeuvre dans le cadre d'une aventure auditive. « wap ti kap ti kap wap ! » loin de n'être qu'une onomatopée, ce son est celui de la baguette contre la caisse de bois ou le son vocal a cappella des chanteurs lors des soirées de conte. C'est aussi le tempo particulier d'une vision du monde où le tambour ancestral et le rythme cardiaque se sont alliés hier et aujourd'hui pour tracer les chemins neufs vers des devenirs qui s'extraient peu à peu de la brume des soifs d'or, des profits, des maxi-mondialisation, de l'inconnaissance de nous et de la terre Mère.
Myrtô Ribal Rilos est née en Guyane, chercheure associée dans les laboratoires de l'UAG et de l'UG, elle est l'auteure d'articles dans le domaine des Langues et Cultures Régionales (Manioc, Canopé). Elle a enseigné en Guadeloupe, en Martinique et en Guyane.
«?Les grands esprits font les choses avec passion et amour. Siméon Bourgois, Charles Brun et Camille Doré font partie de ces hommes qui ont eu une ambition pour la Marine française du XIXe siècle, celle de naviguer de manière autonome sous l'eau. En avance sur leur temps, ils ont travaillé avec persévérance et sans compter pour transformer un projet hors normes en réalité, celui du submersible Le Plongeur, qui fût construit à Rochefort. [...] cent soixante ans plus tard, à l'heure où le dernier né des sous-marins nucléaires d'attaque, lui construit à Cherbourg, entre en service dans la Marine nationale, nul mieux qu'un Rochefortais amoureux de sa région, officier de marine et ancien commandant de sous-marins nucléaires pour raconter cette épopée unique en son genre.?» Vice-Amiral d'Escadre Jean-Philippe Chaineau Commandant les forces sous-marines Au-delà de l'aventure de ces hommes, de ce sous-marin et de la marine du Second Empire, le premier roman historique de François Guichard nous immerge dans la vie quotidienne de Rochefort, de celle de son arsenal, de ses rues et de ses habitants.
Premières plongées - Vingt milles nautiques sous la mer est un véritable voyage dans le temps d'une richesse exceptionnelle, qui ne manquera pas d'emporter les amoureux de la mer comme les passionnés d'Histoire, de technologie et d'innovation.
Lorsque j'ai écrit Mon Marathon, le message que j'ai voulu transmettre s'est avéré tellement puissant et empli de sens qu'il m'a permis d'aller à la découverte de moi-même. Plume au Thorax, quant à lui, se révèle extrêmement spirituel.Quand la maladie (mal a dit) s'invite une seconde fois, dix-neuf mois après son départ, comment continuer à se battre?? Pour être guérie (gaie rit), ou emprunter la voie de la guérison, j'ai parcouru un chemin semé d'obstacles, a priori insurmontables. Je me suis arrêtée à chacun d'entre eux, afin de réaliser ce qui m'arrivait et de réussir à outrepasser ces embûches. La compréhension est l'une des clés pour avancer?: il m'a fallu comprendre, en toute conscience, confiance et bienveillance, ces messages, ces petits cailloux, ces grosses pierres, ces montagnes, qui ont encombré mon chemin. Me sentir aimée et encouragée par mes proches m'a également aidé à tenir. La spiritualité que j'ai développée m'a fortifiée dans ma maladie.Blessed est le mot anglo-saxon que j'emploierais pour décrire mon parcours. Jamais je ne serais devenue celle que je suis aujourd'hui si je n'avais pas traversé ces épreuves. Elles sont mon lot, ma chance, ma destinée, et je suis d'une infinie reconnaissance pour tout ce que je vis, ici et maintenant.Et vous, vous reprendrez bien un peu de crabe??Anne-Sophie Ruol est mariée depuis vingt ans. Mère de trois filles, c'est à ses 40 ans qu'un cancer du sein lui est diagnostiqué. Durant neuf mois, elle se bat pour guérir et publie son premier ouvrage Mon Marathon. Dix-neuf mois plus tard, la maladie s'invite à nouveau et l'auteure lui fait face avec bravoure. Plume au thorax est le témoignage de sa récidive.
«?Tout à coup, son regard s'arrêta, irrésistiblement attiré par deux yeux noirs ou verts - il ne savait pas trop - qui le fixaient avec intensité. Ils appartenaient à une brune bien proportionnée, aux courbes agréables, qu'il découvrait de l'autre côté du terrain de basket. Son regard délivrait un message. Martial en était sûr mais, sans expérience et plutôt timide, au lieu d'être encouragé, cela le désarmait. Seuls leurs regards construisaient un lien déjà très fort.?»Martial et Agnès ont tout de suite compris qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. Mais la vie est-elle un long fleuve tranquille?? Leur destin sera-t-il semé d'embûches?? Les protagonistes parviendront-ils à affronter les obstacles qu'ils rencontrent??Michel GUITTARD est né en 1936 à Talence. Pendant trois ans, il enseigne dans une école primaire avant de devenir Professeur d'éducation physique. Après 64 ans de bénévolat dans l'athlétisme, il obtient la médaille d'or de l'EPS. Passionné de littérature, il écrit plusieurs romans de fiction et signe avec Une très longue parenthèse son premier ouvrage publié.
Cette expérience m'a changée, je porte aujourd'hui un regard neuf sur la vie. Chaque matin, je savoure le fait d'être en bonne santé, de pouvoir me lever, embrasser ma famille, et passer du temps avec mes amis.Nous devons toujours nous battre, quelle que soit la mésaventure qui nous tombe dessus. Nous devons continuer à croire en un lendemain meilleur, ne pas cesser d'avancer, même si cela exige un effort surhumain. Si nous perdons tout espoir, alors nous abandonnons notre combat, et nous serons condamnés d'avance.Manon Tireau est née en 2004. Du haut de ses 15 ans, elle a déjà traversé de grandes épreuves. Grâce à sa famille et à ses proches, elle arrive à retracer certaines étapes de sa vie afin de les mettre sur papier. Elle signe avec Un écrin de tendresse pour panser mes blessures son premier ouvrage.
Moniteur éducateur depuis 1983, objecteur de conscience durant deux ans auprès de jeunes de cités, salarié dans un foyer éducatif puis chef de service de proximité, Michel Decodin accompagne des mineurs déplacés de leur environnement familial dans le cadre d'un placement d'assistance éducative ordonné par le juge des enfants.À travers ce témoignage riche en conseils et en anecdotes, l'auteur retrace son parcours pour mieux le saisir, le comprendre, l'analyser et le poursuivre, et, en toute humilité, le transmettre.Vous découvrirez en particulier la nécessité d'être un déclencheur, un provocateur, un éveilleur afin d'émanciper celui ou celle que vous accompagnez.Une réflexion intéressante sur les relations que les professionnels de l'éducation entretiennent avec des jeunes en quête de fraternité, de respect, et de considération.Michel Decodin est né en 1961. Militant associatif, il se forme en Bretagne où il exerce la profession d'éducateur spécialisé au sein des quartiers de Brest. Il devient, en 1999, chef de service éducatif.Formateur auprès d'étudiants en travail social, il écrit et dédie cet ouvrage aux futurs ou jeunes travailleurs sociaux.
Lola et ses parents vivent à la Réunion. Leur souhait le plus cher est de pouvoir s'installer en France, et surtout à Paris. Malheureusement, Jason, le grand frère de Lola, ne partage pas le même rêve et refuse de quitter ses amis.
Le déménagement tant attendu arrive. Finalement installée dans son appartement français, Lola remarque toutes les inégalités qui régissent notre monde. En grandissant, la jeune fille acquiert des valeurs qu'elle se jurera par la suite de défendre.
Dès lors, son avenir est tracé et Lola fera tout ce qui est en son pouvoir pour parvenir à véhiculer ces enjeux fondamentaux.
À Paris, Louise Leroy-Choiseul, une quinquagénaire excentrique au grand coeur, se résout à partir en vacances, encouragée par ses proches. Voilà tout ce qu'elle déteste, tant elle trouve cela commun et sans le moindre intérêt. Et pourtant... Direction l'Italie et plus précisément la Toscane, à Cetona, l'un des plus beaux villages du pays. Un lieu chargé d'Histoire, idéal pour disparaître mystérieusement un soir d'orage...Est-ce l'oeuvre d'un désaxé local ou celle d'un proche de Louise qui aurait trop souffert de son égoïsme, de son arrogance, de son intransigeance ou de sa trop grande inflexibilité ? Cela pourrait également être une piètre blague de l'intéressée afin de pimenter son séjour...En moins de quarante-huit heures, Louise devient l'obsession d'un seul homme : le commissaire Pignatoro-Maggiore. Il va mener sans relâche une enquête afin de démêler le vrai du faux. Quelle piste suivre pour retrouver Louise au coeur de cette mystérieuse Toscane ? Cette disparition va précipiter la famille de Louise dans une tempête dont personne ne sortira indemne.Christine-Charlotte Cambresy, la cinquantaine dynamique et assumée, est une citoyenne en action. Depuis de nombreuses années, elle met ses compétences de communicante professionnelle au service de projets éclectiques et innovants.En écrivant La bicyclette d'Albert E., cette passionnée de littérature a réalisé l'un de ses plus beaux rêves : celui de partager, avec le plus grand nombre, sa vision du monde, son intérêt pour la multiculturalité, son amour pour les voyages et sa grande sensibilité.
« April... Avril. Quand j'y pense, on est le vingt-deux aujourd'hui. Tout s'imbrique, tout coule de source [...]Aujourd'hui je pose une pierre importante. Je veux témoigner qu'une jeune fille, une femme pragmatique et terre à terre [...] peut s'ouvrir à la foi tout d'abord, à la spiritualité ensuite, à un travail sur soi qui mène à l'ouverture à « plus grand que soi » et sur le chemin si rocailleux de la guérison intérieure, et finir par se laisser toucher et guider par ces « manifestations » divines, par ce que l'Univers et ses anges gardiens ont à lui montrer sur elle-même et sur ce qui l'entoure. [...]April est le symbole, l'essence de ce que je veux exprimer dans ce manuscrit. C'est la témoin privilégiée, l'accompagnatrice de la métamorphose de l'ancienne Tania vers la nouvelle. Et la nouvelle Tania, curieusement c'est l'enfant en moi, le bébé qui riait, était heureuse de vivre et souriait à la vie. C'est April, mon double avec qui j'ai fait connaissance il y a moins de trois mois [...]April m'a accompagnée le temps d'une saison. Une saison indescriptible de manifestations qui m'ont conduite sur un chemin de découvertes toutes aussi incroyables. Je me suis découverte moi, et je t'ai découvert toi, lecteur. »Tania Zimen nous entraîne dans un véritable voyage initiatique, dans lequel nous, lecteurs, devenons, à mesure que les pages se tournent, interlocuteurs et acteurs d'une profonde transformation.L'écriture a toujours occupé une place importante dans la vie de Tania Zimen. À 8 ans, elle rédige ses premiers poèmes. À 16 ans, elle achève son premier roman, qu'elle édite vingt ans plus tard. Dès la trentaine, elle s'intéresse au développement personnel et se pose des questions existentielles. Ainsi, elle écrit le témoignage Cent jours, édité avec son premier roman Marine et Marinette en 2007.Aujourd'hui, elle continue à rêver, imaginer et créer.
Au début des années quatre-vingt, Henri, consultant, gagne un appel d'offres d'informatisation et découvre dans le cadre de sa mission l'univers de la bibliothèque nationale de Richelieu, ses personnages, leurs idées et leurs querelles.Puis brutalement, trois conservateurs de la bibliothèque sont assassinés en quelques jours.Pourquoi ? Ils avaient en commun des idées modernes concernant l'évolution des bibliothèques et de la Bibliothèque nationale en particulier. Pour Henri, un livre est le mobile des crimes. Un livre écrit par les trois victimes... et probablement quelqu'un d'autre. Mais comment trouver ce livre ?Il faudra attendre les années quatre-vingt-dix, le projet de Très Grande Bibliothèque et l'évolution des technologies pour mettre le coupable face à ses crimes...Philippe Lévy est né en 1952. Après une carrière de consultant en informatique et organisation, majoritairement effectuée dans les secteurs de la documentation et de la culture (BnF, Archives nationales, Institut de France... etc.), il prend sa retraite et puise son inspiration de son expérience pour écrire ce premier roman.
G.E. Jarry a vécu une enfance difficile. Brisée par un inceste récurrent et une autorité de fer dans « une famille au-dessus de tout soupçon », elle prend sa plume pour raconter son histoire et révéler sa capacité de résilience et ses prises de conscience.À travers ce témoignage, elle lève le voile sur son vécu et ses ressentis, afin de faire comprendre au plus grand nombre la capacité que nous avons tous de transcender une expérience, si cruelle soit-elle. L'auteure souhaite redonner confiance et espérance à celles et ceux qui n'ont pas encore trouvé le moyen de se relever d'expériences bouleversantes. Pour autant ce témoignage ne veut véhiculer aucune morale.G.E. Jarry a quitté sa famille très jeune et s'est égarée pendant presque dix années. Après la naissance de ses enfants, elle a repris ses études et a réussi, petit à petit, à se reconstruire. Aujourd'hui elle approfondit sans relâche ses découvertes intérieures qu'elle est prête à partager avec autrui.
« En finissant de contourner le château, il éprouve soudainement une émotion confuse qui le submerge, associant dans un mélange inextricable ses ressentis heureux et malheureux. Pourquoi, ce jour, cet espoir de retour hypothétique à un lointain passé évanescent et ténébreux ? Que vient-il donc chercher en ce lieu cinquante ans après ? Sans nul doute la confirmation des causes de son mal-être occulté durant toutes ces années, avec l'énergie d'une adaptation sociale lui servant de carapace. Fort opportunément, la perspective esthétique de l'enfilade des tourelles du château le sort de la torpeur de sa rumination. Et soudain, comme par enchantement, un rayon de soleil surgit d'entre les nuages d'un ciel grisâtre et illumine le château dans un dégradé subtil d'ombre et de lumière. »Luc Coirier naît en 1949 dans une famille catholique vendéenne. En 1960, il intègre le petit juvénat des frères de Saint-Gabriel, au sud de Cholet. Ses souvenirs des quatre années scolaires sont ceux d'un orphelin candide en quête d'affection, à la suite du décès de sa mère, et d'estime de la part des religieux, auxquels son père délègue son rôle éducatif en toute confiance. L'auteur, victime d'abus sexuels, d'autorité éducative et de pouvoir religieux, voit sa vie affective, sentimentale et sexuelle perturbée. C'est notamment par la psychothérapie et la pratique du yoga qu'il prend conscience de la gravité de son vécu traumatique, à la cinquantaine. Aujourd'hui, Luc Coirier souhaite passer de l'état de victime à celui de témoin, en espérant que sa prise de parole permette à d'autres victimes d'agressions sexuelles de libérer leur voix.
Rares sont les jurés d'assises qui témoignent des expériences qu'ils ont vécues. L'explication est simple : la loi leur impose, sous peine de sanctions rigoureuses, de garder jusqu'à leur mort le secret des délibérations. Cette loi très ancienne perdure à juste titre et est appliquée avec diligence. Le secret garantit la liberté de parole et de vote de chacun, magistrats et jurés. En revanche, rien n'interdit à un juré de relater cette expérience peu routinière et de confier ses impressions. Je tente de dresser un bilan de la mienne, après que le hasard d'un tirage au sort m'a confié la responsabilité inouïe de juger un homme pour son crime. Maryline Durry naît en 1969 dans les Ardennes. Mariée et mère de cinq enfants, elle vit aujourd'hui en Occitanie et aime flâner sur les plages de Gruissan. Elle se découvre assez tardivement une passion pour le droit ainsi que pour la criminologie, et décide d'entamer une carrière de psycho criminologue (profiler). Attachée à la rigueur, elle écrit afin d'apporter, à son échelle, plus de justice dans le système judiciaire français.