À propos

Elle m'a sauvé la vie en m'offrant le plus fascinant des destins. J'avais quatorze ans, j'allais être éliminé en tant qu'attardé mental, mais grâce à elle on m'a pris pour un génie précoce. J'étais gardien de vaches, et je suis devenu le bras droit de plusieurs prix Nobel. Je lui dois tout : l'intelligence, l'idéal, l'insolence, la passion.
Cette héroïne de l'ombre, d'autres l'ont fait passer pour la pire des criminelles. Je viens enfin de retrouver sa trace, et je n'ai que quelques heures pour tenter de la réhabiliter.
Un Didier van Cauwelaert au meilleur de sa forme qui sait jouer de l'histoire, des grandes découvertes scientifiques sous le nazisme, de l'épopée des anti-nazis allemands, de la solution finale pour les handicapés décrétée par le IIIe Reich en 1941, et qui renoue avec ses grands thèmes romanesques, la substitution d'identité, le grand amour né dans l'adolescence, le dépassement de soi et le combat écologique.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Didier Van Cauwelaert

  • Éditeur

    Albin Michel

  • Distributeur

    Hachette

  • Date de parution

    27/02/2013

  • Collection

    Litterature Francaise Albin Michel

  • EAN

    9782226246868

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    304 Pages

  • Longueur

    20.6 cm

  • Largeur

    14.7 cm

  • Épaisseur

    2.5 cm

  • Poids

    374 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Didier Van Cauwelaert

Didier van Cauwelaert est né à Nice en juillet 1960.
Didier van Cauwelaert commence à écrire des romans très jeune, en fait à l'âge de 8 ans. L'année suivante, il envoie son premier manuscrit, un polar, l'histoire d'un serial Killer en culottes courtes, aux éditions Gallimard, sûr d'être publié. Refusé par les éditeurs pendant 13 ans, il persévère. Passionné de bandes dessinées, il écrit alors un scénario qu'il envoie au peintre Marc Chagall, le voisin de son oncle, pour qu'il le dessine (refus poli). À 12 ans, il écrit le livret d'un opéra pour guitare qu'il envoie à Alexandre Lagoya (aucune réponse).
Sa première publication se fait dans le 'courrier des lecteurs' du magazine 'Télé 7 jours', que l'entretien imaginaire du jeune auteur avec Greta Garbo a séduit Après quelques années consacrées au théâtre (il joue Sartre, met en scène Beckett, Anouilh, lonesco) et une brève carrière de critique littéraire pour une télévision régionale. La consécration, attendue depuis plus de dix ans, vient en 1982 avec la publication de son premier roman Vingt ans et des poussières.
En 1983, alors que se joue au théâtre sa pièce L'Astronome, il fait son service militaire au 12e Régiment du Train, avec Patrick Bruel. Ensemble, ils écrivent et montent le spectacle de Noël pour les enfants des gradés. Cette action héroïque leur vaut la médaille du régiment.
Il a attendu longtemps le succès, mais aujourd'hui, avec l'impulsion du prix Goncourt en 1994, les ventes de ses romans atteignent les 700 000 exemplaires. Il admire Marcel Aymé de même que Romain Gary.
Il reçoit le prix Goncourt en 1994 pour Un aller simple, le prix de la Fondation del Duca pour son premier roman, Vingt ans et des poussières, le prix Roger-Nimier en 1984 pour Poisson d'amour, le prix du jeune théâtre de l'Académie française et prix de la fondation Johnson pour L'Astronome, le Grand Prix des lecteurs du Livre de poche en 1999 pour La vie interdite, le prix Gutenberg du livre 1988 pour Les vacances du fantôme.
Didier Van Cauwelaert s'est également vu attribuer le Molière 1999 du meilleur spectacle pour son adaptation au théâtre du Passe muraille. Ses pièces (L'astronome, Le nègre, Française et Noces de sable) lui ont valu le Grand Prix du théâtre de l'Académie française. Il se frotte régulièrement au cinéma, comme scénariste et dialoguiste (La Maison assassinée, L'Invité surprise, Triplex, Feu sur le candidat, Un Aller simple) et comme réalisateur (Les Amies de ma femme). L'auteur affirme aimer écrire dans la quiétude de la campagne et préférer la fréquentation des jardiniers à celle des milieux littéraires. Il tient à s'adresser au plus large public possible, pas seulement aux intellectuels, et c'est d'ailleurs par peur de l'hermétisme qu'il n'écrit pas de poésie. Quand il n'écrit pas, il fait du sport, s'occupe de son jardin ou de ses vieilles voitures : une Rover 1960 et une Jaguar 1968.

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